Voyage BDSM et sexe en chine

Catégories : Rencontres BDSM
il y a 11 ans

Auteur : Ecrivaillon

Comme chacun sait, en Chine, il est possible de s'offrir de supers plaisirs que la morale condamne. Sauf que parfois cela dérape !

Moi mon truc c'est le BDSM, alors, lors de mes discutions avec le conducteur d'un « touc touc » qui me proposait les services de superbes jeunes femmes, je me suis laissé aller à lui dire que je recherchais du BDSM avec une femme dominante. J'avais donc un rendez-vous dans un restaurant chinois avec une dominatrice. J'étais terriblement excité, et l'anonymat du à la distance m'avait fait oublier la prudence nécessaire dans ce genre d'aventure.

J'entre dans le restaurent et demande Mademoiselle Leeyang, on me fait patienter un moment puis un homme vient à ma rencontre.

Je lui paye la somme convenue et il me fait entrer dans une cabine.

Aussitôt, il ferme la porte la porte à clé. Une voix douce et autoritaire se fait entendre dans un haut-parleur :

« Déshabille-toi entièrement, plie tes vêtements et pose-les par terre. Lorsque cela sera fait, ouvre la porte qui est devant toi et entre. Tu frapperas à la porte de la cloison, on te dira ce que tu dois faire »

Ainsi soit-il, je me déshabille rapidement et ouvre la porte que l'on m'a indiqué puis frappe à la cloison. Dans le mur, une trappe s'ouvre, on m'indique que je dois y passer la tête, pour parler à la maîtresse des lieux. Je m'exécute et, dès que ma tête se trouve de l'autre côté de la cloison, j'aperçois une chinoise qui me regarde avec un visage d'ange. Une planche de bois s'abat derrière ma nuque bloquant ma tête et m'interdisant toute tentative de replis. La Chinoise au visage d'ange, passe une goupille à travers la planche et la verrouille. Un courrant d'air passe sur mes fesses, on vient d'ouvrir la porte de l'autre côté de la cloison. Des bras particulièrement forts, me saisissent les poignets et les attachent avec une corde. Je commence à m'affoler sérieusement. La jeune fille se lève, et s'approche de moi avec un rasoir à la main. Complètement terrorisé, je me mets à hurler, elle pose son doigt sur sa bouche et me fait comprendre que je ne dois pas avoir peur. Elle se baisse et attrape un blaireau plein de mousse à raser et me le passe sur la figure puis entreprend de me raser le visage puis coupe mes cheveux et me rase la tête malgré mes réfutations sans effets.

De l'autre côté de la cloison, un produit froid et des poils frottent mon corps. Je comprends aussitôt que l'on est en train de me raser les fesses, le sexe et le haut des jambes. Lorsque la Chinoise a terminé de me raser, elle me passe une perruque brune avec des cheveux mi-longs puis me passe une cagoule sur la tête, la ferme derrière mon cou et noue un des lacets à la base de mon cou. Ma bouche reste exposée et complètement disponible.

Une main attrape et serre fermement mes bijoux de famille pour m'obliger à monter sur une caisse et à plier les jambes pour faire ressortir mes fesses à travers une cloison de bois. On glisse une barre devant mon ventre et me bloque totalement. Une main me pelote les fesses puis les écarte pour enduire sans ménagement mon petit trou d'un liquide froid. Maman, dans quoi me suis-je embarqué ?

J'appelle pour leur dire de se calmer, que je veux voir la maîtresse mais personne ne vient. Au bout d'un moment quelqu'un arrive, je lui manifeste mon mécontentement et la voix calme d'un homme me répond :

« L'étranger a dit SM, ici l'étranger vient frapper nos jeunes filles contre un peu d'argent, leur fait des gamins et puis s'en va. Aujourd'hui, ma fille est malade de l'un de vous, alors tu vas la remplacer. On va passer quelque chose autour de tes parties, c'est pas une corde, c'est un fil tranchant. Si tu parles, tu rentreras chez toi demain avec tes choses dans un sac, à ta place je ne dirai pas aux clients ce qui t'arrive.»

L'horreur totale s'installe et mon estomac se noue. Ce n'est plus du SM, mais un enlèvement.

Peu de temps après, quelqu'un arrive, je l'entends ouvrir sa braguette, il frotte sa verge sur mon visage et se sert de mes lèvres comme d'un sexe. De sa main, il se guide en poussant de plus en plus et lance des cris rauques. La verge tressaillit rapidement dans ma bouche je suppose que l'éjaculation est proche. Je me révolte à l'idée d'avaler le sperme de cette brute qui me baise la bouche sans égard. J'entends au-dessus de sa tête le souffle de plus en plus précipité du type qui s'agite dans ma bouche. Il me semble que sa queue s'allonge de plus en plus. Les gémissements du mec se font plus forts Une première salve de semence épaisse et chaude vient heurter le fond de mon palais suivit immédiatement de deux autres. Le piège tranchant autour de mon sexe se tend et me fait comprendre que je suis obligé d'avaler sans résistance sous peine d'être castré.

Cinq minutes plus tard, un sexe ouvre mes reins et me prend profondément. Je le sens aller et venir en moi et cela me donne la nausée. Je voulais du SM et je ne suis plus qu'une machine à plaisir que l'on égorgera quand je ne serai plus « vendable ». Un mec entre, ouvre son pantalon et me présente son sexe pour que je le suce, chose que je refuse car il dégage une odeur fétide. Le fil tranchant autour de mes noisettes se tend soudain. Ils ne me laissent pas le choix et je suis obligée du prendre en bouche ce sexe répugnant et nauséabond.

Il a une odeur immonde de pisse et un goût horrible. Mais lui s'en fout, il me prend par la tête et me fait faire un mouvement de va et vient avec ma bouche en O sur son sexe. Il éjacule rapidement et m'obliger à boire son sperme. C'est ignoble, mon ventre le refuse, je suis à deux doigts de vomir, mais le fil tranchant est toujours tendu, j'avale brusquement comme un médicament. Celui qui me prend se bloque profondément dans mes reins, il doit être en train de jouir et d'éjaculer en moi. Putain, si je m'en sors vivant, je vais avoir le SIDA ! Il se retire et quelques instant plus tard, je sens son sperme couler le long de mes cuisses.

Deux mecs arrivent l'un des deux, passe derrière la cloison, je comprends alors que l'après-midi ne fait que commencer. Il colle son gland contre ma rosette et pousse sauvagement  dessus pour me pénétrer. Son gland me gagne millimètre par millimètre, et d'un coup, je n'en peux plus de résister et craque. Son membre me pénètre alors d'un coup jusqu'au plus profond de mon ventre. J'ouvre la bouche et crie ma douleur. Son copain en profite et me fourrer jusqu'au au fond de la gorge.

Ils se déchaînent alors à deux sur moi, m'arrachant des cris de douleurs et des larmes de honte. Lorsque je le sens jouir en moi, je me dis que ce salaud en a fini, mais il fait le tour et vient rejoindre son ami qui se retire pour aller prendre sa place. Il me présente alors sa queue pleine de ma merde et m'oblige à le sucer. J'ai envie de vomir, j'ai sa queue dans la gorge et je suis obligée d'avaler la merde qui est dessus. Le goût est affreux, c'est dégelasse, c'est ignoble. Ils me prennent comme ça pendant une bonne heure se partageant mon cul et ma bouche.

Lorsque qu'ils partent, je n'en peux plus. Je suis cassé, vidé, souillé.

Quelque temps plus tard

Un couple arrive. La femme passe aussitôt derrière la cloison pendant que son mec ouvre son pantalon présente sa verge tendue devant mon visage. Je sens une douleur cuisante traverser mes reins. Des lanières commencent à s'abattre en cadence sur mes fesses m'arrachant des cris et des larmes de douleur. Je commence à sombrer dans une sorte de divagation comateuse, au-delà de la douleur. Le gland boursouflé de son mari franchit le faible rempart de mes dents, j'ouvre désespérément la bouche pour prendre de l'air le mec en profite pour m'envahir totalement la gorge. Les coups redoublent sur ma croupe je suce comme un désespéré pour essayer de canaliser mon esprit. Les lanières s'arrêtent enfin de s'abattre sur mon fondement en feu. Les mains qui caressent mes fesses surchauffées et douloureuses m'apaisent un peu mais des doigts se pressent entre mes fesses ouvertes et progressent lentement en moi. La poussée irrésistible de cette main me donne l'impression une l'impression de déchirure.

Le mec dans ma bouche donne maintenant de grands coups de bassin, son plaisir n'est déjà plus très loin. La main de sa femme entre lentement dans l'étroit conduit de mes reins, comme si elle prenait garde à ne pas m'endommager. Elle me distant horriblement, mon petit anneau brûle comme s'il prenait feu puis soudain son poignet entre en moi et semble comme aspiré. Oh mon dieu, elle me fiste et me fouille. Pendant ce temps, la queue dans ma bouche s'accélère, il saisit ma tête entre ses deux mains et la fait aller et venir de plus en plus vite sur son sexe rigide. Sa verge se raidit dans ma bouche, tressaute puis lâche un torrent de sève bouillonnante qui envahit aussitôt mon palais et me dégoûte.

Pendant que sa femme sort la main de mon ventre, je pousse un grand râle, son horrible compagnon en profite pour s'enfoncer profondément dans ma gorge, je bave, je m'étouffe, je me perds, j'avale.


Après quelques clients tout aussi doux...., le Chinois revient et me dit : « finalement c'est une erreur, ma fille n'est pas malade, elle a seulement sa période, mais comme tu voulais SM et que tu n'as payé pour une heure, il faut que tu me donnes encore de l'argent ».

Ecrivaillon

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